Facilitation territoriale

Plus de vie dans votre territoire

par la facilitation territoriale

 

 

 

 

 

 

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“C’est pas le fait de savoir ou d’être informé qui te fait changer,

C’est le fait que tout d’un coup, ta perception

a tourné.” –Alain Damasio

Vous êtes une organisation qui agit sur le territoire (association, collectivité territoriale, administration, entreprise) et vous avez l’élan de rendre votre territoire plus vivant ?

Ou bien vous sentez que des changements importants se profilent à l’horizon et vous ne savez pas comment rendre votre territoire résilient ?

Dans un contexte de Transition écologique et de crise systémique globale, la résilience d’un territoire est en train de devenir l’objectif numéro 1 de ceux qui y habitent, le gèrent, l’aiment, l’aménagent (le ménagent, plutôt), l’imaginent dans l’avenir, et au final, le font vivre, jour après jour.

 

La facilitation territoriale est une méthode d’accompagnement des territoires visant à remettre de l’énergie humaine dans le système « territoire » par la combinaison de deux apports fondamentaux et encore rarement déployés dans les territoires:

 

1) Développer un fonctionnement des acteurs territoriaux en intelligence collective

2) Rendre sa place de sujet au territoire en le considérant comme un acteur à part entière dans le système

Il s’agit d’une méthode basée sur les travaux respectifs d’Otto Scharmer, Frédéric Laloux et Joanna Macy et sur les pensées de Bruno Latour (le concept de Terrestres), Baptiste Morizot (la notion de diplomatie des interdépendances) et James Lovelock (la théorie Gaïa).

Par cette approche de la facilitation territoriale, Entre les Arbres accompagne votre territoire dans des changements potentiellement ambitieux, pour permettre à votre territoire d’augmenter sa résilience. Le coeur de cet accompagnement est basé sur des sessions immersives dans les lieux les plus signifiants du territoire, pour aider ses acteurs à :

  • se relier depuis un état de présence authentique, coeur à coeur
  • faire territoire ensemble
  • se réapproprier l’identité, les valeurs et les ressources du territoire
  • aimer interagir ensemble au-delà des querelles partisanes, au-delà des égos, où le processus fait résultat.

Du fonctionnement hiérarchique classique à la facilitation territoriale

 

Nous identifions trois cas de figure, dans le sens croissant de la vitalité territoriale.

 1) Le modèle hiérarchique classique

La plupart des territoires fonctionnent aujourd’hui en mode hiérarchique, avec des acteurs qui coopèrent peu et considèrent le territoire comme une ressource et donc comme un objet. Les équipes ou les collectifs fonctionnent en silos, dans une logique de compétition et de méfiance.

  • Les acteurs sont extérieurs au territoire
  • Ils se considèrent les uns les autres comme extérieurs
  • Ils agissent “sur” le territoire
  • Territoire = ressource à partager et à co-gérer

Ce mode de fonctionnement a montré ses limites. La plupart des territoires se retrouvent dans une impasse. La vie n’y circule plus.

Exemples de limites classiques : aménagement non durable, perte de démocratie, déprise territoriale, violences, exclusion…

 2) L’intelligence collective

Quelques territoires introduisent l’intelligence collective dans la gouvernance et dans les interactions entre les différents acteurs.

Les acteurs commencent à développer un fonctionnement en intelligence collective MAIS continuent à « agir sur » le territoire.

  • Les acteurs se considèrent les uns les autres comme extérieurs
  • Territoire = ressource à partager et à co-gérer
  • La co-gestion et le partage se font en intelligence collective

 

Là où il est mis en œuvre, ce mode de fonctionnement réintroduit de la vitalité dans le système. Les acteurs ont bien plus de motivation et de joie à interagir entre eux à propos du territoire.

La limite principale est que le territoire, en tant qu’entité vivante, n’est pas invité à participer à cette dynamique, qui reste une dynamique mono-spécifique (humaine).

Or, dans le cadre d’une récente expérimentation de facilitation territoriale (Assemblée de la Forêt, Loire, août 2021), nous avons pu démontrer clairement en positif l’aspect systémique de cette dynamique: si le sous-systèmes des humain.e.s d’un territoire donné se considèrait à nouveau en lien avec l’ensemble du système vivant (l’écosystème du territoire dans son ensemble), alors déjà au sein du sous-système, il y aura un meilleur fonctionnement. Nous en parlons dans cet article.

=> En creux, cela veut dire que l’intelligence collective d’un système humain est plafonnée par le degré de connexion aux autres espèces dans lequel il est immergé.

=> Cette propriété est FONDAMENTALE et nous oblige à aller encore un cran plus loin.

 3) Le territoire vivant

Il s’agit des situations territoriales qui non seulement offrent aux acteurs de fonctionner en intelligence collective, mais aussi qui redonnent leur place à tous les vivants. Et le territoire lui-même redevient,  lui aussi, une entité vivante comme il l’est par exemple pour les habitants de l’ïle Tikopia ou les Indiens Kogi. On passe du territoire objet au territoire sujet. Et là, tout change, et redevient possible. Les clés de la Transition Ecologique se situent sans doute dans cette immense ouverture.

  • Les acteurs sont une partie du territoire et celui-ci devient un sujet.
  • Chaque acteur devient pour l’autre une des parties, vivantes, du territoire
  • Le territoire redevient une « entité vivante » et en tant que tel, agit lui-même comme un  facilitateur d’intelligence collective entre tous les acteurs (humains et non-humains)
  • Un rapport sensible se recrée entre les habitants humains (au sens large) et leur territoire et ce lien sensible recrée un lien coeur à coeur entre les habitants humains eux-mêmes
  • Le territoire évolue doucement vers le Symbiocène (cf. Glen Albrecht, les Emotions de la Terre)

Dans un tel système, non seulement le territoire est à nouveau considéré comme un sujet, mais de part son rôle fédérateur, il agit à son tour sur les autres acteurs, en jouant le rôle de facilitateur d’intelligence collective.

Pour résumer, la facilitation territoriale permet de développer les deux piliers d’un territoire vivant, qui se renforcent l’un l’autre.

Bénéfices individuels

  • Joie, plénitude
  • Sens, motivation
  • Présence, reliance au vivant
  • Authenticité, confiance

Pour le collectif

  • Intelligence collective
  • Engagement, motivation
  • Plus de liens, plus de soin
  • “Faire territoire” ensemble
  • Plus de coopération
  • Performance collective
  • De l’information qui circule

Pour le territoire

  • Résilience, pérénité
  • Prise en considération des acteurs non-humains
  • Décisions au service du vivant
  • Enclenche une dynamique vers l’économie symbiotique

Notre offre

Entre les Arbres offre ses compétences et sa connaissance des acteurs du territoire pour mettre plus de vie dans vos territoires par cette approche de la facilitation territoriale.

 

Voici quelques exemples d’accompagnements, dans le sens croissant de la durée des missions.

Conférence / atelier

Durée : 1 à 2 heures

Intention : établir une connexion sensible avec le territoire et offrir un temps de reconnexion à soi aux participant.e.s

Modalité : temps en extérieur de pleine attention sensorielle avec le lieu pour (re)faire exister le lien intime de chacun avec l’espace autour de lui.

Effets :

  • disponibilité cognitive, écoute et centrage fortement augmentés,
  • plus de créativité et d’intelligence collective,
  • plus de performance de l’équipe.

Exemple d’utilisation :

  • Au démarrage d’un CODIR, d’un conseil communal ou communautaire
  • Au démarrage d’une réunion multi-acteurs à enjeux (ex: concertation sur le PLU ou les ENR)
  • Au démarrage d’un séminaire de travail

Références :

 

Formation à la facilitation territoriale

Durée : entre 1 et 10 jours, en fonction de vos besoins

Intention : augmenter l’autonomie en vue, progressivement, de fonctionner en facilitation territoriale au quotidien sans l’assistance d’un tiers extérieur

Modalité : alternance temps pratiques / théoriques et extérieurs / intérieurs. Les disciplines suivantes seront abordées, soit spécifiquement, soit transversalement :

  • l’intelligence collective
  • le leadership
  • le lien sensible au territoire
  • le territoire sujet
  • la facilitation
  • la médiation
  • le système d’information territorial

Ces formations sont accompagnées de temps de supervision individuelle et collective et peuvent être associées à du conseil en facilitation territoriale.

Effets :

  • une vision claire et partagée de ce qu’est un territoire vivant
  • capacité collective à fonctionner en intelligence collective
  • territoire reconsidéré comme une entité vivante et avec un statut de sujet

Exemple d’utilisation :

  • Un service ou une organisation territoriale souhaite devenir autonome en facilitation territoriale
  • Une équipe projet multi-acteurs souhaite offrir à son territoire une forte revitalisation (ex : des chargés de mission CTE d’un département)
  • Un DGS souhaite redynamiser sa structure et le territoire qu’elle gère par une approche disruptive
  • Des élus veulent changer profondément la gouvernance

 

Un exemple : une formation sur 4 jours pour acquérir tous les fondamentaux par une session expériencielle en trois temps (3J, intersession supervisée, 1J)

Références :

Des réponses sur mesure

 

Exemple:

11/10/2023 : Une agence de l’Etat nous a mandatés (nous = Entre les Arbres et le Lichen) pour établir un recensement des expériences pratiques de mise en relation entre les humains et les autres qu’humains. Nous constituons une base de données qualifiée de plusieurs centaines d’intitiatives explorant les marges de notre rapport anthropocénique au vivant, marges parfois pionnières construisant déjà le début du Symbiocène. Nous apportons notre expertise sur ces manières innovantes d’entrer en relation avec le vivant autre qu’humain, et de le prendre en compte dans nos choix politiques.

Le nom de cette agence sera communiqué prochainement.

Se former à la facilitation territoriale

Se former à faciliter un cercle de partage dans le contexte de la Transition écologique

Comment entrer en dialogue avec les autres qu’humains ?

Bain de territoire

Durée : 1/2 journée à 1 jour

Intention : ouvrir à d’autres manières de “faire territoire ensemble” en proposant une expérience de “presencing” (connexion authentique, coeur à coeur)

Modalité : en partant du quotidien des acteurs territoriaux, leur offrir un espace de parole cadré pour qu’ils expriment leurs ressentis en lien avec leurs compétences métier. Chacun sera invité à faire le lien entre son métier / son usage du territoire et le territoire lui-même et à percevoir comment se tissent ces liens chez les autres. Alternance de temps collectifs en intérieur et en extérieur, en lien avec le territoire immédiat. L’aspect radicalement disruptif de cette approche ne pourra être mené que lorsque la confiance sera suffisamment créée. Elle se fera majoritairement grâce à un langage et une culture partagés. La méthode est inspirée du Shinrin-yoku (bain de forêt) tel que pratiqué en long et en large par Entre les Arbres, appliquée à tout type de territoire (pas uniquement en forêt).

Effets :

  • Renforcement du lien entre les participants et leur territoire
  • Renforcement du lien entre les participants entre eux
  • Renforcement du “faire territoire” ensemble
  • Ouverture à de nouvelles manières de considérer le territoire
  • Début d’autonomie : les participants disposeront d’un premier niveau de boîte à outil pour la suite : gestion des réunions, gestion de l’information, processus de décision…

Exemple d’utilisation :

  • Facilitation de séminaires
  • Travail sur les vulnérabilités dans un contexte de diagnostic territorial
  • Réunions de concertation

Références :

Oct. 2019 – Evreux – Facilitation du séminaire résidentiel des 24H de Vallées Habitées pour le compte du CAUE de l’Eure, en partenariat avec le POLAU – Pôle des Arts Urbains. Alternance de temps en forêt, de sessions en intelligence collective et de temps d’introspection du lien sensible entre les participants et leurs territoires. Publics: élus, habitants, représentants de l’Etat, professionnels de l’urbanisme.

 

Bain de territoire à Dingy (74) en 2023 Bain de territoire dans le cadre du projet Rassemblez Lez, Montpellier, 2023

Coaching territorial

Durée : sur mesure

Intention : accompagner un territoire qui sentirait un “appel” pour atteindre un état désiré, et qui rencontrerait des forces contraires.

Modalité : il s’agit ici d’offrir l’adaptation du célèbre processus de coaching de Joseph Campbell intitulé “Le Voyage du Héros” à une problématique à la fois collective ET en lien avec un territoire donné. Ce processus consistera en une retraite de plusieurs jours, en immersion complète dans le territoire concerné, pour toute l’équipe concernée. Durant ce “voyage” collectif (et individuel), chacun va être invité à explorer ses désirs, ses besoins, ses valeurs, ses peurs, ses ressources et ses sources d’inspiration pour mettre plus de clarté sur ce qu’il souhaite réellement accomplir pour lui, en lien avec son territoire.

Effets :

  • Retour du sens, un cap clair, ambitieux, motivant ET réaliste
  • => Regain de motivation
  • => Confiance individuelle et collective
  • => Résilience
  • => Et au final, un territoire plus vivant

Exemple d’utilisation :

  • Un territoire qui a identifié un “appel” vers un état souhaité ambitieux mais motivant et qui aura besoin d’aide pour “y aller vraiment”.
  • PLU, SCOT, PCAET et plus généralement toute planification territoriale

Références :

Ponctuellement, en aidant le CAUE de l’Eure à proposer un processus équivalent aux territoires concernés par le projet “Vallée Habitée”, durant un séminaire immersif de 24 heures.

Accompagnement sur le SI territorial

 

Intention : fluidifier la circulation de l’information dans le système “territoire” dans son ensemble pour en faciliter l’appropriation et la gestion par ses différents acteurs.

 

Références :

17 ans de consulting en SIG pour les acteurs du territoire.

Livre blanc “Reinventing GIS – L’intelligence collective au service de l’information territoriale”

 

Les fondements de la facilitation territoriale

Dans le cadre d’un groupe de réflexion sur la facilitation territoriale, mené avec L’Inverse de la Fusée (Pascal Ferren) et Céline Montero, depuis 2018, 9 fondements ont été déterminés pour notre approche. Ils sont à voir comme des invariants, ou une charte, sur laquelle nous nous appuierons en permanence et sans concessions pour organiser nos prestations en réponse à vos problématiques.

Considérant que : 

1

Un territoire est un espace limité (administrativement, arbitrairement, historiquement, morphologiquement, etc) composé par un ensemble de vivants et de milieux de vie valant pour eux-mêmes (et non par rapport à des intérêts extérieurs à eux-mêmes).

2

Par englobement ou contagion du tout par les parties, le territoire peut être compris comme une personne, une super-personne ou une méta-personne. Ou, dit autrement, le territoire possède, par composition des intérêts propres qui le constituent, un ou plusieurs intérêts qui lui sont propres.

3

Un territoire est une totalité organique dont l’existence, le fonctionnement et l’évolution ne peuvent être appréhendés par une décomposition cartésienne des parties qui le composent et qu’une approche systémique est mieux à même d’en saisir le sens et les intérêts.

4

Un système territorial organique est animé par une énergie, composition instable d’énergies vitales innombrables, qui lui est propre et qui change en permanence.

Alors :

5

La facilitation territoriale désigne une démarche d’accompagnement d’un processus d’émergence et de structuration d’un collectif de présents, humains et/ou non humains, attentifs aux intérêts propres du territoire. L’émergence et le fonctionnement juste de ce collectif constituent la totalité du résultat espéré par la facilitation territoriale.

6

La facilitation territoriale encourage à puiser les solutions aux situations problématiques au sein même des savoirs sensibles, intellectuels et pratiques des vivants en présence. Les agents de cette facilitation, n’ont pas de pré-conceptions figées des actions ou changements souhaitables, et s’attachent bien plutôt à la composition d’une dynamique autonome, qui se fixe ses propres lois, et résiliente, capable de vivre et de faire vivre des changements importants au territoire au nom des intérêts de ce territoire, des vivants et des milieux qui le composent.

7

La facilitation territoriale est une approche attentive à l’appréhension sensible de cette énergie, qui vise à en favoriser la circulation, via un accompagnement (facilitation) dédié.

8

La facilitation territoriale repose sur une conception large de la connaissance, intégrant les attachements affectifs, les connexions multiples entre les vivants et les milieux, les sensations ou les intuitions, autant que les savoirs scientifiquement constitués, ainsi que sur une confiance en l’intelligence collective, la capacité des collectifs à manifester une juste intelligence de la totalité organique du territoire.

9

La facilitation territoriale soutient, enfin, la pleine présence à soi des présents, le contournement des postures (professionnelles, personnelles, spécistes, etc), et la sincérité.

Céline Montero, Pascal Ferren (L’Inverse de la Fusée), Serge Mang-Joubert (Entre les Arbres)

Nos atouts pour vous aider

L’animateur d’Entre les Arbres, Serge Mang-Joubert, de par son parcours comme consultant SIG, guide en bains de forêt et facilitateur en intelligence collective, est à la croisée des chemins pour vous aider d’une manière totalement appropriée. Voici ses principaux atouts :

  • Facilitation en intelligence collective
  • Connaissance transversale et approfondie des métiers des collectivités territoriales et des enjeux de la fonction publique territoriale, garantissant un langage et une culture commune avec les acteurs territoriaux, bases de la confiance pour aller plus loin dans une approche somme toute disruptive
  • Solides savoirs-faire en dynamique de groupe, notamment via les outils Elément Humain, systémie, psychologie positive, Théorie U et CNV
  • Une maîtrise spécifique de l’outil “bain de territoire” issue de la maîtrise du Shinrin-Yoku et de l’écologie profonde.
  • Capacités reconnues d’accompagnement à la transformation individuelle et collective
  • Une sensibilité innée à l’espace et au vivant et des talents de passeur pour la transmettre chez chacun.e
  • Une connaissance fine des enjeux d’aménagement du territoire, d’effondrement, de Transition et de résilience territoriale
  • Systèmes d’information géographique (SIG) et Infrastructures de Données Géographiques (IDG)
  • Des savoir-etre de facilitateur : leadership, écoute, adaptabilité, créativité, rigueur, empathie
  • Notre réseau de partenaires

Se former à la facilitation territoriale

Se former à faciliter un cercle de partage dans le contexte de la Transition écologique

Une approche “Laboratoire” avec le Lichen

La facilitation territoriale est une approche nouvelle et disruptive. Elle comporte inévitablement une forte dimension expérimentale.

Entre les Arbres, conscient de cet aspect, investit la majorité de son budget “R&D” dans l’exploration du lien entre les humains et les non-humains au service de nouvelles manières d’habiter et de “gérer” nos territoires.

Entre les Arbres a participé à lancer un collectif émergent sur ce sujet. Il s’agit du Lichen (Laboratoire des Interdépendances Concernant les Humains Et les Non-humains). Ce laboratoire regroupe d’autres spécialistes du sujet, entre autre Pascal Ferren, philosophe urbaniste, co-initiateur du Parlement de Loire en 2019 et Olivier Frérot (Philométis), philosophe en entreprise, spécialiste de la métamorphose de notre civilisation (cf. nos partenaires).

Deux expérimentations ont été réalisées en 2021 :

  • La première, dans la propriété même de Pascal Ferren, a eu lieu en mai : le Laboratoire des Attachements a permis d’explorer nos relations d’interdépendance sur un lieu circoncis (son jardin, de 2000 m2), et une période donnée (2 jours), à 35 personnes.
  • La seconde a eu lieu du 20 au 24 août, dans la Loire. Il s’agit de l’Assemblée de la Forêt, qui a visé à explorer de nouvelles manières de faire société en prenant en compte la voix des non-humains du lieu concerné. Nous avons cherché des manières de gouverner en intelligence collective augmentée, c’est à dire en intégrant dans les processus de décision des méthodes permettant de nous relier en profondeur aux intérêt des autres vivants, à l’interface entre écologie politique, écologie profonde, sociologie des organisations, sylvothérapie, urbanisme et écopsychologie.

 Depuis 2022, le Lichen a développé de nombreuses méthodes, expérimentées dans le cadre d’évènements de plus en plus diversifiés. L’ensemble des réalisations déjà réalisées ou programmées se trouve sur le site du Lichen : https://le-lichen.org

 

 

 

 

Le LICHEN et l'Assemblée de la Forêt

Le Parlement de Loire

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